LIBOURNE A APPRECIE FEST'ARTS 2008
FEST'ARTS 2008: UN CRU DE GRANDE QUALITE.
La magie des lumières et de la scène, le soir, dans la cours de la médiathèque et dans la cour du lycée Max Linder. Photo jfl.
La magie des lumières et de la scène, le soir, dans la cours de la médiathèque et dans la cour du lycée Max Linder. Photo jfl. Les amateurs d'arts de la rue, de cirque, de danse, de théâtre, ont été comblés par l'édition 2008 de "Fest'arts" à Libourne. La programmation très variée et de grande qualité a permis de réunir un public nombreux dans tous les lieux de la ville pouvant servir de cadre aux représentations. Bénéficiant d'un bouche à oreille très favorable, les principaux spectacles ont fait le plein, quelle que soit l'heure, la météo se montrant particulièrement favorable. Il faut adresser les mêmes compliments à tous les acteurs de ces trois belles journées. Mention spéciale tout de même aux percutions et au splendide montage pyrotechnique des "méchants" COMMANDOS PERCU que certains spectateurs sont allés voir trois fois.
L'organisation très "pro" permet toujours un parfait enchainement des spectacles grâce à un respect scrupuleux des horaires. C'est un avantage très appréciable que l'on ne retrouve pas toujours dans d'autres festivals parfois plus prestigieux. Que Dominique Beyly et toute son équipe de bénévoles en soient vivement remerciés.
Un dernier mot, dans l'attente de l'édition 2009: la cour de la médiathèque du cloître du couvent des Récollets bâti au 17ème siécle, constitue, avec ses trois niveaux d'arcades, un cadre propice aux représentations théâtrales et aux concerts en été. Je trouve vraiment dommage que ce lieu soit sous- exploité. Il y a là des vibrations qui ne demandent qu'à se manifester.
Le cadre de la cour de la médiathèque. Photo jfl.
L'organisation très "pro" permet toujours un parfait enchainement des spectacles grâce à un respect scrupuleux des horaires. C'est un avantage très appréciable que l'on ne retrouve pas toujours dans d'autres festivals parfois plus prestigieux. Que Dominique Beyly et toute son équipe de bénévoles en soient vivement remerciés.
Un dernier mot, dans l'attente de l'édition 2009: la cour de la médiathèque du cloître du couvent des Récollets bâti au 17ème siécle, constitue, avec ses trois niveaux d'arcades, un cadre propice aux représentations théâtrales et aux concerts en été. Je trouve vraiment dommage que ce lieu soit sous- exploité. Il y a là des vibrations qui ne demandent qu'à se manifester.
Le cadre de la cour de la médiathèque. Photo jfl.